Non, pas une voiture thermique à l’horizon, seules des électriques roulent des mécaniques silencieuses dont on sait bien que le principe de construction, notamment les batteries, est nettement plus polluant que l’essence ou le diesel, mais on s’en fout, ce n’est pas ici.
Très loin de Paris, dans les mines d’Afrique, permettant à ses résidents de rester au pays les poumons plein des particules de minerais précieux utiles aux besoin des nouvelles énergies.
Et qui plus est, ils n’auront plus d’excuse pour venir volontairement vider nos poubelles à Paris.
Notre impérieux n’est pas en reste lorsqu’il lance à la volée d’une assemblée du beau monde capitalistique, que nous sommes de retour, nous pour faire royal, de retour pour prouver qu’il fait comme les autres qu’il prend modèle pour avoir toujours plus de besogneux n’arrivant pas à gagner une vie stable.
Ceci afin de permettre à une petite élite de vivre heureux entre soi qu’il faut ne pas être trop nombreux.
Même si, pour les petites gens, comme ils disent, ou les sans dents comme il dit l’autre, notre royal béa impérial fait semblant de faire croire que l’ascenseur social est redevenu possible.
A l’instar de ceux des grandes tours restant hors service pour ne pas faire de jaloux si la cabine était déjà prise en otage par des dealers auto-entrepreneurs.
Avez-vous d’ailleurs remarqué que ces derniers, comme les chiens mâles – avec le nouveau système d’écriture inclusive, il devient compliqué de dire chienne de peur de sexisme machiste oppressant – pissent sur les lieux de leur résidence pour marquer leur territoire ?
Puisque nous sommes en période footballistique de coupe de France, il est plaisant d’entendre s’étonnaient des journalistes que Lille ait pu perdre alors qu’ils étaient à trois ; bon, je vous l’accorde c’était en championnat mais l’ancien de St Étienne…