Pourrir la vie de l’autre

Avec le confinement, la poursuite de la pandémie, nous avons appris à vivre avec moins de liberté pour tenter conserver l’essentiel.

Mais, il y a des groupes de pression qui voudraient prendre le commandement sans aucune élection.

Il y avait déjà la clique de la Santé qui veut que l’on meurt en bonne santé.

Remarquez, déjà bien avant, il y avait diverses associations, qui perdurent, pour nous obliger à bien conduire, à ne pas fumer ou boire.

Même d’autres se vantent de nous empêcher de vivre de notre propre corps et esprit.

Il y a aussi les juges qui complotent.

Les voisins qui s’y mettent pour faire de la bonne délation pour de bons sentiments.

Il y a même des commerçants qui veulent commercer librement.

Mais ils n’entendent pas laisser n’importe qui s’installer.

Déjà en centre ville, un syndic de biens s’était autorisé à rouspéter contre l’installation dans sa belle place de ville d’un pressing en libre service.

Ses copains marchands vont plus loin encore.

Ils font fi de la libre entreprise, ils font pétition pour l’empêchement de l’ouverture de pompes funèbres.

Les censeurs autoritaires ne sont pas morts ! Les familles abandonnent leurs animaux qu’elles ne veulent pas en leur compagnie.

Les capacités de la SPA sont désormais largement dépassées alors que nous ne sommes qu’au début de l’été, période malheureusement propice à l’abandon.

Mais va-t-on obligé un confinement total pour résorber cet embouteillage ? La malice de la Covid19 est la flambée de ses variants.

Tant qu’il y aura des non vaccinés en masse, le virus se développera pour continuer à être plus fort que précédemment.

Si antérieurement, il était pensé qu’il fallait seulement 60 % de vaccinés pour écarter le virus, l’on constate qu’il en est rien à cause des mutations qui prennent le pas sur le précédent.

Et pour survivre, il doit être supérieur ; vive Darwin.

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