Ici, baisse drastique des aides et subventions aux associations.
Mais, là, surtout, à l’Est de note pays, à nous France terre des droits de l’homme qui peuvent se décliner en droits de la Femme, un certain maire, qui se dit outré par tant de virulence conte lui, a osé vouloir virer une association qui passe une partie de son temps a oser donner repas et victuailles, voire un peu de chaleur, à certains immigrants osant vouloir rester en France dans sa région à lui obtenu de vaillantes batailles de mots se métamorphosant en maux.
Il paraît que donner à manger à ce qui ont faim, boire à ceux qui ont soif, loger ceux qui sont sans toit, est un acte politique d’une rare violence dont l’édile M.
Le Maire ne veut pas voir en sa circonscription.
Mais j’avais déjà évoqué le sort du salarié qui avait eu le tort de ne pas accepter d’être quotidiennement le chauffeur de l’ancien préféré parti voguer ailleurs.
Ce chauffeur a été viré avec pertes et fracas sans aucune explication, ni d’ailleurs, ce qui le sauvera peut-être financièrement, respect de la procédure légale de licenciement.
Cela prouve bien qu’il n’y a pas que Madame qui ait pris la grosse tête parricide, mais bien une volonté, une fois installé, d’imposer son ignominie d’une société raciale ou seul le blanc fait loi et le fort tue le faible tellement ce dernier ne sert à rien.
Et, puis, pour justifier le tout, pourquoi ne pas invoquer les forces de l’écologie qui veulent que l’on soit au plus près de la nature où règne le droit du plus fort.
Et dire qu’un certain fait tout pour faire croire qu’il peut faire de même…
