Mais, au moins un terroriste a compris qu’il n’était pas vulnérable, alors il est allé planter son couteau dans quelques corps qui profitaient de leur nouvelle liberté.
Une autre espèce est de retour forcené.
Dès 9h pile, le téléphone émet son doux son.
Une voix inconnue nous explique que les frais hospitaliers ne seront plus pris en charge.
Est-ce un effet collatéral de la pandémie sourdine rampante ayant entraîné le besoin d’augmenter financièrement les capacités de soins ? Nous n’en saurons pas plus, la belle voix ayant compris notre agacement.
Et inutile de compter sur le trop fameux bloctel qui ne sert vraiment rien tant est grande son indigence.
Dans le même, un éditeur m’invite à recevoir un beau livre d’un célèbre Toussaint.
Bien sûr, rien à voir avec les manif antiracistes voire, malheureusement pour certains, raciales.
Personne ne sait trop si demain sera différent.
Mais ce qui est sur et certain c’est qu’aujourd’hui est pareil qu’hier et que les bonnes âmes du marketing rayonnant utilisent toujours les mêmes ficelles pour pousser à une consommation dont nous n’avons pas besoin.
Encore que la lecture d’une bonne culture aille de soit, mais les mensonges de serpents à sonnette, non ! Ça va être la guerre.
Non pas durant le covid19 comme l’avait annoncé l’illuminé, mais bien en période post.
Il y avait déjà les rivalités Cdi vs Cdd.
Puis les intérimaires, les intermittents sont venus s’ajouter à la masse selon les cœurs de métiers sans oublier les saisonniers.
Mais, voilà, ceux qui vont se retrouver sur le trottoir ne pourront plus aller de l’autre côté déjà embouteillé par ceux des mêmes corps qui se disputent les mêmes postes.
Si les contrats de performance ne fonctionnent pas spontanément, les chômeurs pour en sortir devront accepter toutes les conditions patronales pour accepter une vie même réduite ; mais pourvu qu’elle ressemble à la précédente.