Peuple contre hauteur

L’une des solutions, peut-être ou pas, serait de revoir nos rapports professionnels avec l’autre.

Aujourd’hui, tout repose, ou presque, sur le côté malin de celui qui propose et en réaction la recherche constante de la bonne affaire à faire.

Ainsi, le vendeur s’échine un vendre un produit dont il sait, par exemple, l’obsolescence.

Mais, s’il y arrive, il touchera sa récompense et peut-être aussi s’il prouve qu’il peut recommencer une lévitation dans de plus hautes sphères.

Le patron, il faut bien que quelqu’un dirige, se doit de produire au moins cher possible, et de vendre au plus offrant.

Peut lui importera dès lors la qualité de ses produits s’il a su embaucher les bons ouvriers, salariés, sachant assembler de mauvaises choses et des vendeurs dont la seule compétition est de mieux vendre que son collègue en espérant bien qu’il sera demain son collaborateur.

Tout bénéfice se fait sur le dos de celui qui le paye.

C’est l’arnaque assuré dès lors qu’il n’existe que peu de garde-fous et garde-bouts.

Les parents ont réussi une partie de leur éducation en apprenant à leur enfant à ne pas se faire avoir, à réussir une bonne compétition, à être meilleur que l’autre lors d’un quelconque concours.

Quel est le système viable qui permet de se ravir.

Certainement un débat où deux débattent d’un humoriste à succès qui fait beaucoup rire en tapant sur tout le monde notamment en gauche comme le faisait un autre de la droite.

L’un de droite le trouve merveilleux, l’autre de gauche semble-t-il de le trouver méchant au-delà du rire ambiant.

Et au-delà, esprit es-tu là, ils se rejoignent pour dire qu’il est un aristocrate de l’humour comparé aux autres incultes qui hantent les scènes  la recherche d’un savoir-faire.

Et le problème en souci est là : l’emploi du terme aristocrate pour montrer, monter aux nues ce qui est beau, ce qui est bien, proche du parfait.

Et pourquoi donc le beau, le bien et le parfait ne seraient pas peuple tout simplement ?

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