Pour obliger la Chine à répondre de sa répression de la liberté religieuse, M. Pence a noté que les États-Unis avaient imposé des restrictions en matière de visas aux membres du Parti communiste chinois qui sont responsables de la persécution continue de plus d’un million d’Ouïgours et d’autres musulmans chinois.
En outre, les États-Unis ont sanctionné plus de 20 bureaux chargés de la sécurité publique et huit entreprises chinoises pour leur complicité dans cette atrocité.
Le vice-président a expliqué que les États-Unis, pour protéger la liberté en mer de Chine méridionale, avaient augmenté « la cadence et la portée de leurs opérations visant à assurer la liberté de navigation, et renforcé leur présence militaire dans toute la zone indopacifique ».
Mais au-delà des points de discorde, M. Pence a souligné « l’amitié durable entre le peuple américain et le peuple chinois » ainsi que l’importance de la collaboration « pour partager un avenir pacifique et prospère ».
« Les États-Unis cherchent la collaboration avec la Chine et la collaboration de la Chine avec le reste du monde, a-t-il ajouté. En dépit de la forte rivalité qui existe actuellement, et de la force croissante de l’Amérique, nous voulons mieux pour la Chine. »