Pauvreté pauvre

La pauvreté ce n’est pas que des conditions de vie déplorable si l’on n’est pas convenablement aidé.

Ce n’est pas non plus une mauvaise considération de soi à voir que, a priori, d’autres ont mieux réussi leur vie d’autant plus que généralement ce n’est que financièrement.

Et puis aussi, la ghettotisation, non pas celle concernant un peuple qui a été meurtri en en veut désormais à d’autres, fait que l’on se regroupe entre soi ce qui évite de prendre conscience de réalités qui nous feraient nous lever autrement.

Non, la pauvreté, c’est aussi, et surtout, affaire de chiffres de biens pensants suffisamment argentés pour ne pas tomber dedans tant il est impossible d’en sortir sauf exception permettant de ne pas voir la règle qui est dans ton œil mon voisin.

Une chose est sure, selon l’Insee, c’est qu’il y a plus de pauvres aujourd’hui qu’en 2004, mais nettement moins qu’en 1970.

Si j’avais été un tant soit peu objectif serein, je constaterai que ces périodes concernent un temps le début et la fin de gouvernement plus portée à gauche social même s’ils auraient pu nettement mieux faire.

A ce sujet, je pense qu’en 1940, il y avait moins de pauvres qu’en 1800 et quelque chose…

Pour cela, il suffit tout simplement que nos dirigeants quittent leurs calculettes à rendement pour s’empare d’une plume à lois décidant l’amélioration sensible, réelle et durable de l’ensemble de la population à commencer par les plus démunis.

Et c’est facile à les trouver, l’étude le dit, le démontre très clairement.

Les pauvres se trouvent en plus grand nombre dans les zones défavorisées.

Les ménages (et non véganes comme dit imprudemment dans l’article même s’il est vrai qu’ils ne peuvent manger de la viande) monoparentales sont favorisées surtout si à la base il s’agit d’une femme.

Les chômeurs emportent la mise d’un jeu jamais gagnant.

Voici vos pistes, à vous de jouer amis dirigeants…

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