Pas si bête

De coutume habituelle, les transhumances humaines sont généralement l’occasion d’abandons lâches d’animaux domestiques faisant confiance à leur maître.

Et tout particulièrement, lors des grands départs d’été qui demandent à ce que les véhicules ne soient pas trop chargés.

Mais, les associations de protection des animaux toutes natures s’inquiètent d’une flambée fortes de ces actions de lâchement en plein air avec la résurgence des sorties dérogatoires permettant l’exfiltration ailleurs que dans les périmètres considérés.

Aussi, tenons-nous importantes ces quelques précisions pour continuer d’inhiber les velléités d’abandons intempestifs.

Tout d’abord, ne jamais considérer qu’un animal solidement arrimé à un arbre est une bête abandonnée.

Simplement, il vous faut penser, avant tout autre pensée impérieuse, que son sa maître(sse), devant un besoin naturel d’évasion au-delà du km imparti pour la sortie animale, a continué sa course pour se maintenir en forme.

Il ou elle reviendra rechercher son joujou favori à l’occasion de son grand retour.

Et vous verrez la joie de l’animal lors de cet événement.

Ce n’est pas parce que l’on aime bien que l’on doit forcément châtier.

Mais, peut-être faut-il donner quelques indications de réflexions, si c’est possible, aux-dit(e)s maître(sse)s.

A priori de forme explicative contraire, les motifs de déplacement n’ont aucune valeur juridique de priorité entre eux.

Autrement dit, ils se valent tous excepté les contraintes règles individuelles comprises applicables à chacun.

Prenons l’exemple correspondant à l’objet de la présente, « Animaux domestiques ».

Il est clairement indiqué  que vous ne pouvez faire ses besoins à votre vache que dans un rayon de 1 km non pas de son champ habituel, mais de votre résidence urbaine principale à vous.

Mais si pour les besoins de sa transhumance, nous en parlions plus haut pour autre chose qui y ressemble, vous avez besoin de plus, comment faire ? Et bien tout simplement, vous donnez un autre motif en rapport à votre vrai besoin dérogatoire qui n’aura rien à voir avec votre animal – la vache c’est pour l’exemple – même si naturellement il vous accompagne.

Après tout votre vie privée n’intéresse pas cet état d’urgence sanitaire.

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