Pas de souci, ils sont vivants

Il y avait deux ennemis qui s’insultaient comme pour concrétiser deux gauches irréconciliables.

Mais, les temps sont tels que ces deux la ont pu discuter et constater certaines convergences.

Cependant, ces discours fumeux rappelant des voix d’antan ne disent rien de concret pour le peuple.

Non pas qu’il ne soit pas en capacité de comprendre.

Mais, le peuple veut du concrets.

Le peuple veut des engagements forts pour améliorer leur quotidien.

Or, rien de tel dans ce débat ou alors je me suis endormi trop tôt.

Mais je travaille, que voulez-vous.

Et comment croire un type qui, conformément aux vœux de l’illuminé, s’en va sur le trottoir d’en face pour chercher un job hors France.

Et le hors France ne voulant pas de lui, revient au bercail comme si rien n’était.

Au contraire, il a la vantardise de faire savoir qu’il a beaucoup appris.

Ce n’est pas fait pour nous rassurer.

Va-t-il falloir nous le supporter encore longtemps ou va-t-il finir échouer sur les berges de l’extrême droite où l’attend la cheffe aux jeunes bobos ? Quand à l’intello, il n’arrête pas de nous seriner qu’il a raison.

C’est bien de vivre avec des incertitudes.

Mais celui chargé de l’écriture – mais pourquoi celui ce pourrait très être celle chargée – l’a sans doute fait en express vu l’apport de fautes qui n’amène rien au débat d’une joute malgré tout fort aimable de deux hommes ayant plutôt l’air de regarder leur passé et de rêver leur futur avec leurs croyances passéistes.

Au fait, cela fait bien marrer de voir cet intello, l’autre débatteur, « vous ne contestez à Manuel Valls par le droit d’être de gauche ? » (en français dans le texte comme je le disais plus haut.

A propos, moi aussi j’en fais des fautes mais je ne suis pas payé pour écrire…).

Une fois les diplômes remis, chacun est allé ripailler dans son quartier.

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