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Pas de panique chez les riches

C’est entendu, la grande panique d’une pandémie nous rappelant celles antérieures où la santé était un leurre, s’est étendue jusqu’à la tête de premier de cordée.

Raison gardée ne veut pas dire garder son sang-froid, mais peut valoir prendre à l’échelon en dessous des décisions unilatérales ne favorisant guère le vivre ensemble même à plus d’un mètre de distance.

Tenez, cette maison de quartier qui dans ses ateliers ne comporte guère plus de 15 personnes et encore faut-il aller les chercher, a décidé de fermer purement et simplement ses portes.

Ainsi sont privées de toute activité les personnes habituer à s’y rendre.

Et, de bien entendu, la ville voisine d’en face où la frontière est symbolique d’un pont, continue de conserver ses animations surtout lorsque l’on sait que des milliers de jeunes vont errer les rues si on ne les occupe pas un peu plus… mais, la peur craintive d’une responsable administrative est plus forte que tout le reste.

Certes, peut-elle de crainte rester chez elle, mais pourquoi n’avoir pas confier l’ouverture aux responsables desdites activités, clefs qu’ils ont d’ailleurs déjà avec pourquoi pas des dispositions à respecter.

Les municipales galopantes s’adaptent bien elles ??? Dans notre si belle Démocratie, notre illuminé ne cesse d’en vanter les mérites et vante les libertés des citoyens de France.

Tenez, par exemple pris parmi cent, mille voir plus, ces places de stationnements squattés sans que les forces de la voirie de la ville concernée ou celles nationales qui ne cessent d’harceler le quidam passant en voiture ou à pieds.

Mais, et c’est capital, les vrais riches ont tous les droits, surtout le premier d’antre eux qui paye suffisamment de sa personne pour côtoyer les présidents de tout bord.

Le notre, pas le pâtissier, mais le plus riche qui a créé une fondation d’arts pour planquer une partie de sa très riche fortune librement transmise sans impôt, s’est arrogé le droit de privatiser l’espace public pour son compte personnel sans payer le passe droit traditionnel de pouvoir le faire.

Et pourtant la mairie de Paris fait tout pour vider les rues de sa ville malpropre, de la majorité de véhicules…

Jean-Claude Barousse

Photographe autodidacte, sans renier son passé “argentique” il a immédiatement pris le “virage numérique” et s’exprime principalement au travers ses images de paysages naturels et urbains. Il publie des articles et tutos dans des revues photographiques notamment les éditions Oracom et pour le compte de RiskAssur. Réalise des chroniques dans un site forum “Photophiles.com” et aide les membres de son forum “PhotoClub” à progresser dans leur pratique photographique. A la demande, il expose ses photographies originales individuellement ou lors de manifestations collectives et donne des cours sur les prise de vue et le développement numérique. Est membre de diverses association d’artistes picturaux”

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