Participation

L’impérieux veut remettre à jour l’idée participative de ruissellement des bénéfices d’entreprise.

C’était tellement intéressant que les vieux de la veille patronale n’en voulaient pas et ont tout fait pour étouffer dans l’œuf cette idée saugrenue.

Aidé en cela par un certaine corps syndical et une certaine économie sociale, et non solidaire, qui faisaient tout pour y réchapper comme le vulgaire impôts sur bénéfices singeant en cela certaines plus hautes sociétés plus fortes que celles de notre coq40.

Pourtant, si vous voulez bien faire, il vous suffit de reprendre simplement l’idée que croire qu’une entreprise sans salariés est absurde et se rendre à l’évidence qu’elle ne fonctionne bien que grâce à son manitou, c’est un leurre qui ne trompe personne surtout pas les intéressés.

Il vous suffit, cher surhomme de déclarer que 30% des bénéfices iront à la société, 30 autres aux actionnaires et 40% aux salariés.

Pour ces derniers, pas forcément en monétaire mais peut-être en revenus indirects laissant libre choix au salarié de se former pour d’autres besoins que ceux de l’entreprise, sécuriser leurs parcours des aléas de la vie professionnelle.

Nommer, embaucher un véritable Drh chargé de suivre et donner toutes ses chances aux collaborateurs petits et grands empêcheront sans doute quelques uns de suivre la route mortelle empruntée par des salariés au bout de leur bout, fiers qu’ils seront d’avoir retrouvé ce pourquoi il avait décidé d’être.

Mais après avoir prouvé ce qu’il était vraiment, à la solde des vrais riches et non des petites gens qu’il semble avoir en horreur sauf leurs enfants pour selfies rieurs susceptibles de croire en ses belle paroles de guerre contre la génération d’avant leurs parents, l’impérieux barre, croit-il, à gauche pour séminaire tendant à la recherche du comment du pourquoi des plus pauvres et d’éviter de continuer à les croiser partout tellement ils deviennent nombreux ces incapables, fainéants et mauvais perdants…

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