Paroles, écrits…

Des paroles en l’air ou écrites prises comme cela selon la lecture subjective qui en est faite.

Un grand trublion de la connexion lance son slogan détourné : « Il reste chez lui, il a tout compris ».

D’un courriel de pub déplacé : « Désirez-vous vivre chez vous plus longtemps et de façon autonome ? ».

Mais, c’est peut-être dans le journalisme d’une nouvelle répétitive que l’on trouve le  plus de sel d’un grain de café à moudre.

L’un interroge un soignant réceptionnant des malades en réanimation d’un secteur de l’Est.

Complètement à l’Ouest, le journaleux fait le constat que l’atteint sera pris en charge dans un lit d’hôpital pour des soins basiques sans aspirateur.

Heureusement, qu’il y a le sachant qui confirme le transfert en réanimation.

C’est d’éditoriaux rigolos d’hommes et femme qui se veulent sérieux sans parité.

L’un dit que ce ne sera plus jamais comme avant pour que l’autre rappelle le vécu de l’histoire tandis qu’ailleurs il est fit l’espérance de la prise de pouvoir du politique sur le scientifique.

Il nous font (re) savoir, c’est vraiment pas beau le (re), la dichotomie entre les prouesses de la Chine et la dégringolade des pays de la finance.

Tout en faisant mine de ne pas relativiser le rôle du pays où les libertés individuelles sont bridées au profit du collectif qui bien souvent détournées pour un petit groupe sectaire.

Mais, il semble que le week-end a fait réfléchir puisque désormais, l’on pense à compter les personnes sorties vivantes et soignées des hôpitaux après le décompte macabre d’une réalité de morts.

L’obligation de libérer des lits pour laisser place à d’autres a du bon sur les nouvelles déversées.

A propos, il semblerait bien que les chinois sont de gentils menteurs en oubliant de dire la réalité de leur mortalité.

Sans doute toute la peine de voir partir des bras vaillants.

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