Parfois, point de vue

Les policiers se plaignent que des gens ne se laissent pas faire en cas de rappel à l’ordre musclé.

C’est clair, net et sans bavure, les violences de tous acabits sont à proscrire et doivent être jugés en conséquence.

Les journalistes se plaignent que des gens ripostent violemment à leurs articles et propos subjectifs quand leurs écrits pu photos ne sont pas volontairement faux.

C’est clair et écrit noir sur blanc, les violences de tous acabits sont à proscrire sans autre forme de procès.

Mais pourquoi, alors, tant de silence assourdissant sur les visages rouges de sans de plusieurs manifestants.

Pourquoi tant de silence sur les débordements de police, officiers confondus ? Bien sûr ce sont des hommes qui ne sont pas des surhommes même si certains d’entre eux n’hésitent pas à le croire pour faire plaisir leur chef d’état major qui y croit.

Pourquoi vouloir faire croire que seuls les gilets jaunes débordent violemment comme une rivière sortie de son lit par trop d’eau à absorber comme il le faut ?

Les témoignages des manifestants ou de simples passants qui ont vu, ou les articles d’une organisation indépendante et reconnue pour la paix, voire certains entrefilets égarés parmi les unes impartiales selon les dires de leur auteur, ne suffisent donc pas à juste un peu tendre vers un petit rééquilibrage des forces en présence..

bien sûr, si la balance devait pencher du mauvais côté du peuple, alors la goupille sera retirée de la grenade des casseurs qui eux sont malheureusement vrais et pratiquement jamais arrêtés ou comme par hasard relâchés rapidement.

Peut-être sortent-ils des banlieues que certains disent hors mouvement croyant tenir là le bon scoop en cours.

D’autres témoignages concordent disant que d’autres acteurs témoins ont pris plein la figure la hargne policière.

Pourtant,  il n’en est pas sorti grand-chose.

Mais, c’est vrai qu’ils n’ont pas la carte qui change tout ces free-lances.

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