Je dirai presque enfin tant le dernier m’avait peiné à tel point que je n’ai pu le terminer.
Ici, point de cela, la peine serait plutôt de m’arrêter pour vaquer à d’autres activités.
Mais il en est ainsi.
L’écriture est légère, claire presque belle.
Non pas employée dans français recherché, mais qui nous sert à la bonne lecture d’une histoire curieuse qui remonte à loin.
Une reine d’un ancien vieux peuple de nos ancêtres bretons (du moins ceux de l’actuelle Grande Bretagne) n’acceptent pas le châtiment reçu, ni l’occupation de ces barbares romains qui ne respectent rien si ce n’est le besoin insatiable de piller les richesses et violer les jeunes filles dont ses deux enfants.
Elle réunira les différents peuples qui ne s’aiment guère et portera le fer autant que possible.
C’est une histoire historique dont on n’est pas certain de la réalité.
Mais une chose est sure c’est que celui qui domine se croit supérieur tandis que le dominé veut sa liberté.
C’était vrai hier, c’est surtout vrai aujourd’hui.
Et ce livre nous raconte aussi que côté mœurs la liberté était autre…
