Oui, faites attention

Oui, je sais, un virus moins frappeur que ceux auxquels nous étions habitués vient de frapper à nos portes en pandémie faute d’avoir été bloqué par l’insouciance d’hommes qui contrôlent tout à défaut de tout savoir: il  faut bien partager, dans ce monde où un produit vendu fait 3 fois le tour de la Terre pour satisfaire un besoin ménager.

Alors, il est nécessaire de tenir ses distances, de ne pas se regrouper, de rester chez soi, entre-soi en priant que l’autre ne soit pas atteint.

A propos, il est étonnant dans ce pays d’une autre religion, ou plus poussée, les distances sont respectées dans l’attente d’embrasser un mur qui se lamente à chaque fois qu’il n’est pas désinfecté.

Mais, les français ont bien du mal à comprendre que ce soit un gouvernement qui leur dise quoi faire et décide dans le brouillard ce qui est bon pour les citoyens.

Et demande à ses forces de l’ordre de faire respecter leurs règles à coup de contraventions dont la règle de contestation ne semble pas de mise.

On comprend mieux pourquoi les bureaux de tabac ont le droit d’ouvrir sans pater leur coup à boire.

Il faut le faire, alors faites-le, restez chez vous, ne sortez que pour le nécessaire et respectez les gestes de barrière ; ne claquez plus la bise à votre voisine convoitée, faites lui un petit signe de bonne reconnaissance à au moins un mètre de distance.

Si elle franchie celle-ci, n’oubliez pas que le mal arrive seulement par le dépôt de la salive sur les muqueuses ; le reste, ça va… L’on apprend que des gens avisés de l’Est d’un pays frère de la Cee s’est emparé d’un énorme lot de masques et aspirateurs respiratoires adressés par le pays à la grande muraille pour les habitants de la grande botte.

Je ne sais pas vous, mais moi, cet esprit de commerce nauséabond me file le bourdon : n’achetez pas au noir ce type de produit…

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