Malgré ses protestations et celles de ses avocats locaux, arrivés en hâte, il a été incarcéré à la prison de Tokyo où il a pu apprécier le régime pénitencier nippon.
Sa libération sous caution a été retardée par la signification de nouvelles plaintes et,cune fois libéré, il a été réincarcéré une nouvelle fois, avant d’être libéré pour de bon, après s’être acquittée d’une caution appropriée à sa fortune, caution définitivement perdue pour lui aujourd’hui.
On ignore comment il a pu se soustraire à la surveillance et prendre un premier vol en direction de la Turquie et, delà partir pour le Liban, où il ne risque pas d’être extradé, étant Libanais.
Carlos Ghosn est né au Brésil, de parents Libanais et a, de ce fait, la double nationalité brésilienne et libanaise et, depuis sa nomination la tête de Renault, il s’est fait, en plus, naturaliser Français, ce qui lui faut trois nationalités.
Il a opté pour le Liban, ou rien ne lui est reproché, il y a fait ses études et possède, croit-on savoir des habitations et des intérêts financiers.
Dès sa fuite de Tokyo, son avocat Japonais, pour ne pas être poursuivi comme complice, a affirmé n’avoir été au courant de rien et Carlos Ghosn, dans un communiqué a fait savoir qu’il n’a bénéficié d’aucun concours, ni de sa famille, ni de ses proches, qu’il a organisé tout, tout seul, la justice nippone appréciera.
Depuis, son évasion, celle-ci a fait la une de la presse et le moment est venu de s’interroger sur ce qui pourra se passer maintenant.
On sait qu’un mandat d’arrêt international a été lancé contre lui, ce qui l’empêche de quitter le Liban, tant que sa situation n’a pas été clarifiée, à savoir si le Japon ouvre le procès prévu ou classe l’affaire, or tout se négocie.
[amazon_link asins=’B07BWQ5GJ2,B07VC2SPR1,B07Z8SNCN8,B07RWGM7K7,B07V4XHCK5,B07VC3JV7V,B07YRPGWND,B07Z4BK5NP,B07VLGHZ8P’ template=’ProductCarousel’ store=’notresiecle-21′ marketplace=’FR’ link_id=’0d41ccb5-8598-44e3-8bbb-a10ea61b1328′]