On fait c’qu’on p’neut

Il était au plus bas, sans doute le massacre islamique au sud va-t-il lui permettre de remonter haut sauf si le panel de français identifiés ont perçu le coup de com de la mise en scène organisée à son retour impromptu de Belgique ; c’est dire qu’il a la frite.

Espérons, toutefois, que le policier ayant pris la place d’un des otages s’en sortira sans séquelle si c’est possible, lui qui a permis la fin de l’histoire par son téléphone branché.

L’autre petit homme a fait son show, profitant de la lucarne télévisée pour s’exprimer.

Il attaque à boulets rouges la famille de l’ancien dictateur qu’il avait pourtant invité, sans raison apparente dont une de ses anciennes ministres s’en souvient certainement et n’avait pas vraiment apprécié.

Il trouve tout d’un coup que ces gens-là ne sont pas vraiment fréquentables.

Pourtant il leur avait bien prêtés asile avec une belle tente de chez et nettement mieux que les autres vrais immigrants fuyant la fureur du fou furieux heureusement disparu à ce jour.

Pas trop le temps de regarder le match amical de foot.

Mais les bleus ont bien joué : je n’ai pu regarder que la première mi-temps…

Alors que des nouvelles de l’illustre chanteur à la fortune si convoitée, on en a à la pelle, les fraîches du mouvement de milliers de travailleurs de ce jeudi dernier peinent à arriver jusqu’à nous.

Serait-ce parce que certains journaleux, notamment télévisés, se seraient mis également en suspension d’heures travaillées et que les réquisitionnés ont d’autres chats à fouetter ? A priori, la bêtise gouvernementale, pour ne point en dire plus, semble rouler sur l’indifférence médiatique dédiée aux plus riches.

Sinon savoir ce que la belle à l’impérieux se balade en pays élyséen en décolleté plongeant sur un balcon jamais ravalé c’est aussi intéressant que d’avoir des nouvelles de l’essoufflée de la Capitale mais nettement moins que de tenter jouer au basket ball avec la rebondissante Adrianna.

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