On aime, on tue…

C’est l’amour vache, volonté de détruire ce à quoi l’on a cru, ce que l’on a aimé, ce que l’on n’aime plus sans savoir vraiment pourquoi parfois.

Chez les femmes et les hommes issus d’une belle nation républicaine civilisée, on se parle à couteaux tirés dans ce bel hémicycle où les nouveaux qui débutent ne sont pas tolérés.

Où, les débutants avec leur arrogance ne tolèrent pas les anciens, trop soucieux de leur donner le large.

Mais, il y a longtemps qu’on n’y tue plus sauf à prêter écoute aux ailes d’un moulin disparu dans des circonstances de mauvais aloi.

Mais ce n’est pas en masse, tout en finesse, pas comme dans ces contrées si lointaines où un rien permet le tout.

Pourtant ce n’est pas vraiment le moment, la période ne s’y prête pas, les mœurs politiques pas plus et ce n’est pas l’exode d’été qui est en cause.

Mais plutôt une overdose de ces gens biens qui ne supportent pas leur voisin d’une espèce autre même si à la base il s’agit d’un même singe.

Quelqu’un a eu l’idée, pas cet écrivain revenu du diable vauvert, au bon gré de gens bien placés lui permettant ainsi la revente d’un livre nauséabond pour mieux vivre ses années 90, non pas de les exterminer, ça c’est du déjà vu, mais de les isoler sur des îles de bonne fortune.

Celles-ci pourraient par exemple être construites sur les ordures civilisées de pays qui ne le sont pas moins.

Cela tomberait bien, justement, se construit à bonne surface, un bon vieux nouveau contenant de déchets.

Ce serait bien que pour une fois nos excédents servent au bon logement de nos trop chers affamés. Un bon moyen que voilà bien trouvé, de satisfaire notre moral.

Nous continuerons de prier notre seigneur tant adoré et dormirons l’âme tranquillisée d’avoir si bien agit…

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