Obligations festives

Ils sont intelligents ces politiques drivés par la médecine.

Des messages forts ont été envoyé tel le  fameux port du masque entre les plats au court d’un repas à 6 personnes maximum adultes.

Ainsi, les français se sont-ils sentis obligés d’en parler constamment et donc inconsciemment prendre conscience qu’il fallait pour chacun avoir une attitude à moindre risque.

Autrement dit, prendre les français pour idiots et les laisser dans leur médiocrité ambiante ne fait pas peur à ceux qui se croient puissants.

Ils ne comprendront jamais le pourquoi du comment des gaulois à gilets jaunes sur les rond-points y compris celui de l’arc de triomphe.

Pour cette fête de Noël, tout était clair.

Les églises, ayant réussi leur lobbying vis à vis du gouvernement, ont pu recevoir dans leur fête, leurs pèlerins ayant retrouvé leur chemin.

Certains étaient à 800 prouvant leur volonté d’être ensemble.

Même un gymnase avait été réquisitionné par une ville, affirmant la séparation de l’église d’avec l’état.

Le contraire est également faisable.

Et, pendant ce temps de choix laïque, la culture fait son deuil de l’exercice de ce qu’elle peut être.

Certains ont pensé que l’église est plus essentielle que la culture.

C’est beau la télévision.

Des animateurs ayant atteint, voire dépassés l’âge de la retraite sont autorisés à rester et les autres priés d’attendre leur tout d’y arriver.

On les enlève en chaise musicale de l’endroit où ils avaient pris l’incruste pour le mettre ailleurs essuyer les plâtres en vieux routiers qu’ils sont.

Coup double pour les patrons ayant accepté cette consécration.

Soit la nouvelle émission où ces déjà trop vieux ne pointe guère se frimousse dans l’audimat.

Soit, il est suffisant à la soif des annonceurs en veille de bon plans.

Dans le premier cas, l’on avoue larme à l’œil avoir tout fait pour satisfaire, mais tu comprendras mon vieux.

Dans le second, l’on ramasse le trophée du meilleur manager de l’année.

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