Non, il ne s’agit pas d’un syllogisme. Ce n’est pas le nom propre d’une ville, encore moins une région, ni même un pays.
Il s’agit d’un acronyme.
Celui qui signale tout ceux se trouvant réunis désormais sous sa bannière.
Encore reste-t-il à savoir, s’il s’agit vraiment d’un toit commun avec portes et fenêtres ouvertes.
Souhaitons que chacun y trouve sa pièce, sa place et considère la pièce commune comme un lieu de libertés et d’échanges.
Mais, déjà se dessine une bataille a gagner : celles des législatives.
Nous verrons bien si le groupe passe son tour ou passe devant les autres, ou même sera en passe de bonne position.
Car, la situation est grave.
Aux portes de la République s’annonce les forces obscures qui ont pour elles l’avantage de se vêtir d’oripeaux à faire pâlir le plus libertaire.
Encore faut-il que le fort si fort en thème lorsqu’il se trouve ne tribune ne trébuche pas une fois les pieds sur terre.
Espérons que les frondeurs, même s’il sont de gauche, ceux qui n’ont pas rejoint la droite libérale dure, n’auront pas la possibilité de dévoyer cette noble aventure en voulant conserver leurs vils avantages d’un pouvoir fort ancien mais déchu.
Si ce pari est réussi, il est certain que tout sera difficile.
Les ministres désignés, notamment le 1er, n’auront pas la vie aisée.
Car les autres forces, parfois par conviction, presque toujours par seul intérêt individuel, feront tout pour faire capoter cette nouvelle possibilité.
La possibilité de mettre l’être humain au sein de nos vies.
Non pas comme le client au sein de l’entreprise pour enrichir cette dernière, mais pour que le naturel vive en toute harmonie.
Pour cela, il faut que les inégalités accentuées disparaisse.
Il faut que le fort serve le faible.
Il faut la Nouvelle Union Populaire Écologiste et Sociale.