L’idée est intéressante, sans doute pas dans le détail si certains propos restent maintenus.
En fait ce qui semble sous-tendre dans ce livre c’est la vraie idée d’un pays terrestre.
C’est dans une certaine théorie la chose peut paraître enviable, la chose semble parfaitement impossible au-delà que quelques siècles, amen.
Il suffit tout simplement de regarder comment se comporte l’Europe et les États-Unis grands fédérateurs s’il en est de pays divergeant.
En fait, l’on peut prévoir un gouvernement terrestre, mais, alors, il devra compter sur diverses cultures de régions internationales.
Pourtant, ce livre en profite pour faire parler la cause féministe.
La notion de Patrie, pourtant au féminin, serait enserrait par une Matrie.
Vous aurez devinez qui dirigerait.
Et pour bien se faire comprendre l’auteure donne en exemple le film Matrix ; oui vous avez bien lu.
Dans la pratique, visiblement, il est dit clairement que la femme est supérieure car certaines de ses qualités seraient nettement plus élevées.
Moi qui pensait bêtement que les caractéristiques des individus n’étaient pas du sexe plus ou moins bien porté.
Mais plutôt du à l’usage, les coutumes, l’éducation quoi.
Plus loin, il est préconisé une vie sans argent.
Pourquoi pas, tant ce dernier est source de misère autant matériel que moral.
Pour cela, un vaste programme devra voir jour pour identifier les besoins de chacun et les biens qui seraient donnés par ceux qui n’en auraient plus besoin.
J’ai comme un doute, j’ai déjà vu l’annonce quelque part.
Et je m’inquiète de la demande de rémunérer les créateurs de cet illustre programme.
Aussi, ne vous étonnez pas si j’arrête là ma lecture.
Désolé mais c’est beaucoup trop pour moi.
