Vous lorsque vous fermez boutique : adieu veaux, vaches et cochons qui ne pourront même pas retourner à la ferme tant ils sont morts.
Hé, bien, le ministre avisé en son ministère oblige à fermer une centrale et s’engage à ce qu’il y ait zéro salarié sur le carreau.
La promesse ne dit pas si elle parle des sous-traitants ou intérimaires, ou Cdd en vacances.
Mais chacun aura compris la leçon qui veut que les promesses n’engagent que ceux qui y croient.
Il est vrai qu’il y aurait mauvaise grâce que de faire dire qu’après le nucléaire, il n’y a plus rien… La question demeure posée : la Russie, pays de l’Est pour ceux qui ne connaissent pas, s’ingère-t-elle dans nos affaires intérieures, notamment lors des élections.
C’est un piège dans lequel l’on peut facilement tomber si l’on constate le comportement, parfois violent physiquement, de l’un de ses anciens ressortissants exilés contre son plein gré de ne pas pouvoir s’exprimer librement en public.
C’est un électron libre qui fait la star pour être.
Pas bien méchant pour celui qui ne le croise pas.
A plusieurs reprises, il se porte porte-voix de la liberté d’expression dont il estime avoir le droit d’abuser dans ce pays des droits de l’homme.
Et, l’on ne voit vraiment pas pourquoi les migrants devraient subir la double peine d’exilé forcé et de la grande muette.
Mais, ses derniers agissements me semblent forts agaçants.
Il se croit obligé de dénoncer le comportement privé d’un homme public qu’il juge peu conforme à l’image annoncée de lui.
Ainsi donc, selon lui, un individu public ne peut agir différemment de ce qu’il préconise.
La maxime Faites ce que je dis, pas ce que je fais, ne semble pas avoir sens pour lui, soit.
Mais lorsque l’on sait que la propagation de la vidéo compromettante, selon lui, provient de sa propre petite amie, l’on n’est pas vraiment loin du complot jusqu’à propos.
Aussi, une question demeure, cet homme qui se veut justicier est-il aussi neige de blancheur pour exercer sérieusement ce personnage costumé pas que pour le mardi gras qui s’annonce.
Ceci dit, cet acte a fait vaciller le champion du premier de cordée : preuve que la démocratie aujourd’hui a pris un sacré coup dans l’aile au sujet de la liberté prise pourtant, si l’on en croit les sociologues, par plus de 25 % de la population adulte ; les ados, eux ils font rien…