Certes ce n’est pas vraiment beau, beau.
Mais quasiment pas de question sur le comportement des riches ; c’est un peu comme les migrants, ils ont disparus des radars journalistiques.
Toutefois, une petite idée, certes sournoise, de savoir en constatant la montée en flèches des vols privés en jet non moins privés.
Et que dire des hôtels de luxe qui n’ont pas eu besoin du confinement pour être plein en saison morte ? Leurs prestations ont largement augmentées d’options sécuritaires portant également un séjour aux petits soins.
Mais, ne riez pas, n’ironisez plus, nous avons largement besoin de cette engeance car eux seuls savent comment se servir de cet outil d’échange qu’est le pognon, l’oseille, le grisbi et autres acteurs économiques.
A quoi servent les journalistes si ce n’est pour nous apporter des nouvelles aidés par des consultants sachant, parfois, souvent peu de chose.
Alors, ils nous inondent de leur nouveau savoir quotidien.
Tenez, par exemple, une nouvelle qu’elle est importante qu’il fallait s’empresser de diffuser pour remplir un temps d’antenne compliqué à charger.
Il s’agirait de faire savoir que les canidés sont porteurs possible du Covid nous atteignant nous pauvres humains.
Mais, autre bonne nouvelle, deux en même temps c’est un vrai scoop, ces pauvres animaux ne peuvent pas transmettre ce qu’ils pourraient transporter.
Alors, à quoi servent ces nouvelles ? A rien, ha si peut-être : à remplir encore un peu plus des asiles pour chiens qui n’en demandaient pas tant.
Je ne sais pas vous, mais j’ai tout de même l’impression que cette meute est réduite à peau de chagrin puisqu’elle ne peut que (re)diffuser des reportages de quelques jours n’ayant plus sens aujourd’hui si ce n’est alimenter et renforcer une polémique qui n’a pas lieu aujourd’hui, nous verrons bien demain.
Par contre, s’accrocher à la vérité du jour transmise dans les interventions des gouvernants directement concernés serait peut-être une bonne chose.
Je ne sais pas trop je ne suis pas de la partie..