Il en est de même pour les interdictions.
Au lieu de faire de la pédagogie pour faire comprendre avec des faits prouvés, ou l’absence de connaissance, les gens qui en détiennent le pouvoir décident à la place du plus grand nombre, de ce qu’il convient de faire ou pas.
C’est de l’infantilisation de masse.
Évidement, on n’en est pas au niveau de la dictature, d’étoile jaune qui avait d’ailleurs, et a toujours, une forte symbolique qu’il vaut mieux ne pas agiter à tout propos.
Mais, il est évident que depuis début 2015, des mesures ont été prises qui réduisent fortement nos libertés individuelles et également collectives.
Dans un premier temps, c’était l’ère terroriste, actuellement et depuis presque deux ans, c’est sous la couverture de la Covid.
Il est donc sain, indispensable, utile, que des personnes se soulèvent contre l’ordre établi de manière très autoritaire.
Et, il n’est peut-être pas innocent de constater que c’est dans les classes les plus populaires, celles qui exercent les métiers que l’on nommait de première nécessité, les première, deuxième et troisième lignes.
Hier, alors que le virus battait son plein, personne en voyait d’inconvénient de les faire aller à Casanova.
Et aujourd’hui, par la grâce du saigneur, il faudrait les licencier de ne pas vouloir entendre qu’il faut aveuglement obéir.
Ne peut-on pas se demander ce que ces personnes n’acceptent pas le respect d’ordres donnés sans en comprendre quoi que ce soit car les discours sont incompréhensibles.
Si aucun changement radical n’est fait, le boulevard est libre à n’importe quel gugusse qui fera croire qu’il a bien compris le petit peuple.
La liberté est un droit commun et ne peut être aliéné, surtout dans une République non totalitaire.
