Ne dévoilez plus

C’était la journée du topless. Pas forcément celui des boîtes branchées même si elles en font partie.

Mais, l’attitude qui était fortement en vogue il y a déjà quelques décennies.

Car, c’est visible, sur les plages où cette attitude prenait le large, désormais il y aurait comme un grain de sable capable d’enrayer cette bien belle idée.

Mais pourquoi donc, à l’heure de #metoo, il y a de moins en moins de femmes qui s’habillent sur les plages comme les hommes ? Après interrogation, il semblerait que les personnes concernées ne le font plus pour se protéger la peau des affres des rayons de soleils particulièrement vicieux à ces endroits plus sensibles que d’autres.

C’est une raison, et comme le dirait ma dermatologue, il faut éviter ces parties pour réduire les possibilités de cancer.

Et ce sera sans aucun doute une des priorités principales avec le dérèglement de la planète.

Mais, le plus inquiétant, le motif mis en avant, surtout par les jeunes filles de moins de 25 ans, est le retour de bâton des éventuelles représailles une fois la cité réintégré.

Et, selon leurs craintes, leurs peurs, cela pourrait aller des insultes aux bastonnades voire pire encore.

Sans doute faut-il y voir la, un excès trop invasif de certaines croyances.

Mais, il y a aussi, le ras de bol des regards de ces messieurs un peu trop appuyé ; aucune dame ne ressort du lot.

Dire qu’il y a un paradoxe lorsqu’hier les gens réclamaient à tout va le vaccin lorsque les doses étaient absentes, l’on constate, maintenant que ces doses sont présentes par millions, il se trouve des gens qui crient leur haine de la vaccination.

Si l(on veut bien voire par le bon bout de la lorgnette, l’on s’apercevra, tout simplement, que ce ne sont pas les mêmes personnes qui parlent dans les deux cas.

Il est d’ailleurs désolant, pour ne pas dire plus, que deux politiques minables, pour se refaire la cerise, tentent de voguer sur les flots d’une certaine révolte nauséabonde.

Et aller, au moins pour l’un d’eux, d’accuser les médecins d’avoir beaucoup de morts sur les bras, c’est donner le fouet pour se faire battre.

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