Nationale

La question est cruciale : faut-il sortir les drapeaux ou carrément les fusils pour faire voir aux argentins adversaires que l’on n’est pas que des bleus.

La réponse tente d’être donnée par ne foule multitude de journalistes qui n’en savent quasiment rien mais qui veulent néanmoins avoir leurs mots à dire puisque leur métier et de dire au risque de médire.

La France connaîtra-t-elle le triste sort d’Outre Rhin dont pourtant la chancelière s’en servait pour rendre gorge à ces frankies n’ayant aucune bonnes manières.

Mais cela n’arrivera pas à faire passer à la trappe le problème des immigrants dont dans l’urgence certains attendent de savoir s’ils vont périr ou si les représentants des peuples qui n’y comprennent rien à long terme vont singer les autruches dans nos sables bordant les mers inondées.

Il est tout de même formidable qu’un premier de classe, bien sous tous les angles, devenu notre illuminé à tous par la force des chose, de choisir un ancien pour amener un rapport sur ce qu’il conviendrait de faire en banlieue pour que ça roule mieux et qu’il jette aux orties ledit rapport car trop onéreux et pas assez d’idée venant de lui le sacré élu qui sait tout bonnement comment l’on vie dans ces quartiers en périphérie de tout.

C’est vrai il a même demandé au 1 % de très nantis qui s’en sont sortis les clés pour ouvrir les portes.

Et le porte parole du gouvernement, qui est, et c’est bien normal puisque c’est là son rôle, plus godillots que les godillots d’en marche ou crève, a beau jeu de clamer à qui veut l’entendre que ce n’est pas forcément ceux qui n’ont pas pu faire alors qu’il le pouvait d’expliquer comment faire à des inexpérimentés en la matière.

Matière qui n’a jamais été enseignée dans les classes même supérieures.

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