Mon pays c’est l’amour : Johnny Hallyday

Je n’ai jamais été particulièrement fan de Johnny Hallyday, mais comme tout le monde j’ai écouté et j’écoute du Johnny.

Comme Charles Aznavour qui vient de nous quitter, Johnny Hallyday fait partie de ces artistes qui marquent une époque et qui durent au-delà de leur mort.

Un autre grand, au hasard, aujourd’hui, on écoute encore Claude François.

Je savais que le dernier Album de Johnny allait sortir aujourd’hui, non je n’ai pas fait la queue à la FNAC, je n’allais pas – en pleine nuit – faire le trajet Orléans / Paris.

Comme beaucoup, j’ai un abonnement forfaitaire pour écouter de la musique sur mon smartphone. Et bonne surprise ce matin, Mon pays c’est l’amour est déjà en téléchargement.

Je ne suis peut-être pas un fan de Johnny, mais je l’ai tout de suite téléchargé et écouté.

Mon pays c’est l’amour

Quel que soit l’artiste, il y a une certaine émotion à écouter un album posthume, surtout celui qui a cristallisé tellement de tension entre son épouse et ses 2 grands enfants.

J’avais craint d’entendre l’album de trop, l’album d’un homme malade, en fin. De vie, n’ayant « sa voix ».

Heureusement, mes craintes n’étaient pas fondées, dans les 11 titres qui composent ce dernier album, j’ai retrouvé cette voix profonde, puissante, la marque de fabrique de Johnny (pas du tout la voix d’un mourant).

C’est d’autant plus étonnant qu’il souffrait d’un cancer des poumons, qui aurait pu lui faire perdre la puissance, souffle… mais non… cet album c’est bien le Johnny Hallyday que l’on connaît.

Dans cet album posthume il n’y a pas un style musical, mais différentes facettes, tantôt Rock, tantôt crooner,… avec des teintes qui passe entre la France et l’Amérique.

Ce dernier album n’est pas le tour de trop, dommage qu’il n’y ait que 11 titres, et lorsque l’on arrive à la fin du dernier titre « Je ne suis qu’un Homme », que la musique s’arrête, il y a un instant d’émotion… rideau !

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