Mise à part…

Ha non, ce n’est pas possible, vous allez mettre en ruine cette entreprise si belle.

C’était il y a déjà longtemps.

Mais le conflit a perduré mettant réellement en danger le pdg qui l’avait déclaré.

Il s’en est allé, remplacé par un autre mieux payé qui devant le scandale annoncé, déclare mettre une partie de ses primes dans les actions de l’entreprise.

Puis, c’est annoncé, un accord de revalorisation des salaires a été trouvé.

Les concernés sont ravis, le pdg est ravi, les syndicats sont ravis, l’état actionnaire est ravi.

Les cons peuvent continuer à voler en escadrille… Un homme a méchamment ué sa femme parcequ’elle le tourmentait, le mettait chaque jour un peu plus à mal.

Tout d’abord il a fait semblant d’un chagrin libérateur dont les parents de la belle prenait comme argent comptant.

Puis, il a avoué en partie son forfait mais peine encore à raconter sa libération qu’il peine à entrevoir au bout du tunnel.

Un doute m’envahis, m’assaille, je n’entends ni dans les champs, ni dans les villes, les associations promptes à dégainer avec raison sur la justice voulant rendre une certaine raison à ces femmes qui n’ont trouver d’autres moyens de se libérer que de tuer.

Deux poids  deux mesures, est-ce parcequ’il n’y a pas eu coups ? Pourtant, l’on sait bien que les mots peuvent être plus assassin encore.

Est-ce parcequ’il s’agit d’un homme du genre masculin ? Pourtant l’on sait bien que les femmes peuvent se comporter comme des êtres humains sauvages à l’identique de l’espèce masculine.

Ou serait-ce l’effet d’un malheureux communautarisme où chacun chez soi défend son voisin de quartier sans se soucier de son village, de sa région et encore moins de son pays ?

S’il doit y avoir parité, s’il doit y avoir défense du plus faible, que ce soit à parts égales, que ce soit tout intérêt misérable personnel mis à part…

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