Et la France, terre d’asile bien connue, se fait fort de leur dire d’aller voir ailleurs si l’herbe n’y serait pas plus grasse.
Heu, pas e Normandie, mais plutôt, l’autre du côté de chez Chanel.
On a beau les pourchasser, les séparer, les éloigner, les diviser, ils reviennent sans cesse tels les bataillons de zombies de films de mauvaise aventure.
Pas d’eau, pas d’abri, ils survivent tout de même ; alors c’est de la faute de ces associations qui ne veulent pas se contenter des chats et chiens perdus, comme le ferait un journaliste des écrasés, qu’il faut poursuivre en justice adhèrent par adhèrent s’il le faut.
C’est cela la démocratie universelle non communautaire.
Et pendant ce temps, un fou d’indépendantiste, pas aussi fou que cela a été amené à demandé l’hospitalité, non pas en France, le bougre, mais plus haut chez les nordistes car la bière y est bonne et les cigarettes pas cher comme dans son ancien pays qu’il en voulait plus et qui le lui rend bien.
Et cela, mesdames, messieurs, se passe, oui vous lisez encore bien, en Europe, certes du Sud, mais pas d’Afrique du nord.
Pour des raisons obscurs de basse politique, dans nos beaux pays démocratiques l’on risque la prison si l’on accepte pas le jeu des élections décidées par le pouvoir central ou si l’on décide d’en faire néanmoins alors que central est fermé.
Allez expliquez cela aux enfants de Jules qui ne se déplaçait pas en ferry, le bougre.
Mais de cet homme là, ancien gouvernant démocratiquement élu, il n’est pas question de le renvoyer en basse terre car il risquerait plus cher que ces petits que l’on prie de rentrer sourd à leurs craintes épidémiques de tortures pouvant entraîner la mort par erreur de manipulation ou volontaire, allez savoir…