Un tel, empereur d’un village de 600 habitants a fait construire un boulodrome de 5 hectares.
Ce qui permet aux 4 habitants de se comporter comme des nababs invitant les voisins éloignés.
Un autre met en construction une salle des fêtes pour près de 2 000 000 d’€ servant 41 fois maxi par an.
Encore un qui s’est fait de faire construire une salle de fête, non terminée : en cause le surcoût qui aurait amené à augmenter des impôts locaux de 95 % dont la majorité des villageois en sont dispensés.
Ou celui-là qui surfe sur la mode actuelle d’installer des caméras pour rien surveiller puisqu’il ne se passe rien,en 4 ans elles ont servi à visionner 3 attroupements de gamins ; de tout façon, il n’y pas de personnel affecté.
Et la liste est longue des abus en tout genre quand il ne s’agit pas, tout simplement, d’un mélange privé/publique pour un enrichissement sans cause mais avec effets néfastes pour les biens de la collectivité.
Dans les rues, il n’y a plus beaucoup de manifestants à chasser.
Mais il faut bien rendre utile la population de l’ordre à tout prix.
Alors, on les envoie nettoyer un camp de migrants au nombre de 900 à 1 800 tant on arrive plus à compter das ce champ de boue.
Ils ont évacués dans des gymnases (hier c’était des stades, mais nous sommes en Démocratie) ou hébergements en centres d’accueil provisoire.
Et c’est bien là où le bat blesse : que se passera-t-il après le provisoire ? Mais les abords de Paris (re?)deviendront sains et propres pour accueillir la cohorte de touristes à venir afin de faire croire à la nouvelle élue que non, Paris n’est pas un vaste désert.