Merci qui ?

La covid-19 n’en fini d’empoisonner nos vies en plus du corps de certains.

Mais, en contre-partie, le gouvernement n’en fini pas de prendre des mesures qu’elles sont bonnes pour adoucir ce qui est désormais notre quotidien.

Et, comme la plupart des gens a été d’une obéissance sans nom, ledit a décidé magnanime une douceur sucrée pour les fêtes : à compter du dernier dimanche qu’octobre fait, le couvre-feu sera reculé d’une heure.

Ce sont les territoires non concernés qui vont manifester leur mécontentement de n’être pas aussi bien récompensé de leur bonne volonté de ne pas s’être laissés enfermés par le virus.

Mais, il n’y aura pas plus que des velléités tant que le trompe-l’œil est énorme.

C’est bien, Paris la Capitale des lumières décide de continuer dans sa volonté d’être un parc à touristes riches de préférences.

Il a été décidé de supprimer 70 000 places de stationnement, en plus des rétrécissements de rue, voire suppression à la circulation, sans aucune autre alternative pour ceux qui sont obligés de prendre leur véhicule pour aller travailler puisque la France en a besoin pour la stabilité de son économie et accessoirement pour vivre après la chagrin.

Mais la patronne maire avec ses lieutenant en tenus de combat, n’en a cure.

Elle continue la désertification de sa ville qui de plus en plus va se transformer en château fort puisqu’elle réfléchit dans les couloirs ambrés de son beau palais, de mettre une ceinture de rempart à la place du périphérique pris trop souvent d’assaut par la populace des territoires ennemis.

Cela fait longtemps que la capitale a expurgé sa cour des miracles ce n’est pas pour accepter la racaille des besogneux.

Mme, puisque vous êtes, ce n’est pas contre le combat contre la pollution que nous luttons, mais plutôt contre vos yeux fermés de ne pas accepter en amont de parfaire les conditions de transport collectifs et urbains des usagers qui en ont bien besoin.

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