Merci à qui ?

Les envahisseurs le sont et le restent. Quoiqu’ils en disent, leur instinct primaire de vainqueur fait de la bouillie de leurs victimes.

Les talibans ne trahissent pas la tradition.

Et surtout ils ont bien compris le « Faites ce que je dis, pas ce que je fais » véritable sésame passe-partout du comique politique de bas étage – et ils sont nombreux.

Les femmes pourront aller à l’école jusqu’à leur 12 ans.

Il est vrai qu’au-delà elles sont bonnes à marier et à procréer, des hommes bien entendu.

Cela en dit long sur l’émancipation de celles-ci.

Elles pourront continuer de travailler à la maison, chez les autres pour le ménage et repassage, en tant que sage-femme tant ils considèrent souillure l’accouchement.

Et pour faire de la place, ils se sont empressés de virer la femme présentatrice du journal télévisé national pour y placer un homme de meilleur mine.

C’est ce champ de mines qu’ont laisser les troupes d’Outre Atlantique parties sans compter.

Pourtant, il faut bien continuer à discuter avec ces gens la.

Car le principe de vérité veut que pour avoir accès aux mines de minerais rares et indispensables pour la belle industrie occidentale, il faut montrer patte blanche.

Pour les autres régimes totalitaire, c’est déjà fait, merci pour eux.

Au fait savez-vous qu’en Corée très démocratique du Nord de l’Île, le roi sacré empereur par lui-même a droit de vie ou de mort sur ses sujets car c’est inscrit dans sa constitution.

Il se réserve les petites à partir de 11 ans pour les faire marier après usage auprès de sa garde rapprochée dès leur 15-18ans selon l’expertise requise.

C’est beau et grand d’avoir à sa tête de si bons managers prompts à donner de leur personne pour montrer la voie lactée de la vie quasi-éternelle.

D’ailleurs, les ultras milliardaires ne s’en privent pas.

Il y en a même un qui a remercié officiellement ses milliers d’esclaves salariés de l’avoir aidé pleinement à atteindre son rêve d’enfant.

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