Mauvaises nouvelles

S’il y a bien une chose qui me surprendra toujours c’est la volonté éclairée de certaines d’arriver à faire du mal à d’autres.

Et rien ne les arrête dans ce chemin de croix pour les autres.

Il en est ainsi du couple présidentiel dont je ne tiens pas particulièrement à défendre, et d’ailleurs, heureusement pour eux, il n’a pas besoin de mon intervention miraculeuse.

Une photo a circulé, circule encore mettant en scène trois personnages, la quatrième étant flouté sans doute pour tenter d’ajouter un fond de vérité.

Il s’agirait de l’ancien de madame qui n’est pas la première et du portrait de l’Illuminé tout jeunot avec pour légende : « Le mari, l’épouse et l’amant ».

chacun ayant resitué in situ l’identité qui correspond à chaque visage identifié.

Mais voilà, il s’agit d’un photomontage puisque l’homme adulte représenté n’est pas celui que l’on prétend être, et si l’enfant, tout juste adolescent, a priori, est bien identifiable il a été purement et simplement rajouté sur l’image pour ce conte à trois.

Seule la Dame semble bien réelle sur l’image.

C’est purement scandaleux d’agir ainsi même pour un personnage public.

Une autre fausse nouvelle serait la soi-disante liaison de l’Illuminé avec un ancien patron de la télé qui lui, il l’a avoué, aurait bien aimé.

Mais le premier a démenti non pas pour alimenter la polémique dont seuls les tarés peuvent y trouver quelque intérêt, mais pour conforter Dame qui l’a eu mauvaise de se voir si mal traitée.

Sans me répéter, c’est purement scandaleux d’agir ainsi même pour un personnage public.

Et ces ignobles personnages, que je ne saurais mettre au féminin, ont-ils un seul instant pensé aux enfants qui eux doivent vivre leur présent chargés comme des baudets ?

Nous savions, au minimum, depuis la dernière guerre mondiale, que nos braves résistants ne pouvaient pas éclipser les saloperies faites par les collabos et le traitement réservé après la victoire qui rappelle plus les foules en délire d’un spectacle sanglant.

L’on aurait aimé que ces corbeaux disparaissent comme ces derniers, un moment, l’avaient fait.

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