Elle le prend pour de dangereux potentiels tireurs d’élite.
Tu parles d’un bordel de chantier.
Pendant ce temps là, les détachés d’ouvriers le sont de leur travail.
Ils n’auront pas droit à leur salaire, paraît que c’est technique, autre dimension bien comprise des patrons riches de notre impérieux qui n’a toujours pas décidé qui serait là où il l’aura décidé.
Moi, je serai bien libre, mais nul envie de me mettre en marche dans ce mouvement de surplace.
Tu parles de tordus, pendant que dans le public de la territoriale, un fonctionnaire sur deux s’absente de manière éhontée de son beau travail collectif et participe pleinement aux difficultés financières de la collectivité qui préfère chérir ses riches, 1 salarié sur trois du privé en fait autant sans pour autant peser sur les bénéfices des actionnaires ; autre interprétation du management des équipes…
Il voulait pas partir, c’est fou comme les biens installés veulent rester en place alors qu’ils en cessent de prôner la mobilité exacerbée pour les autres sous-fifres, il a rassuré sur son sort et de sa famille qu’il chéri, mais n’a pas résister dire tout seul qu’il décidait de laisser son trône avant que d’autres ne le décident pour lui.
Le peuple est en liesse jusqu’au nouveau potentat que cette caste sait si bien mettre en avant pour protéger leurs biens et leurs protecteurs.
Le premier chargé de déminer le terrain avant le passage du royal déclare que l’impôt sur l’habitation n’est plus au goût de nos temps modernes et que bien sûr il s’agira d’amender autrement.
Est-ce à dire qu’il envisage une réduction de cette injustice ?
En fera-t-il de même avec le foncier qui dégage une odeur de poudre ?
