Mais qu’attendent-ils donc ?

Des pays l’ont essayé et approuvé.

Des chercheurs l’ont trouvé.

Des études scientifiques l’on remarqué.

Tout ceux qui l’ont essayé l’ont adopté.

Mais cette possibilité n’est pas obligatoire, c’est seulement un plus pour ceux qui en ont besoin.

Certes, la France, mais surtout ses représentants d’un autre monde que l’on croyait disparu, est pays des droits de l’homme, mais aussi de résistance à tout malheureusement.

Pourquoi, donc, ce refus de considérer cette petite plante, vous l’avez deviné, qu’on appelle cannabis, comme elle est bonne pour le médicale si elle est suffisamment pourvu en Thc.

Trop c’est effectivement une drogue mais dont l’individu, homme ou femme ou les deux, est moins dépendant, voire pas du tout, que celle les enfermant lorsqu’ils picolent gorgées d’alcool.

C’est prouvé, attesté, signé et validé : le cannabis réduit la mortalité chez les grands brûlés, le cannabis réduit les crises d’épilepsie, le cannabis aurait une action bénéfique sur l’anxiété sans impact négatif sur le sommeil et la dépression, le cannabis réduiraient certains risque vasculaires, le cannabis serait potentiellement bon contre le cancer des ovaires et c’est très certainement ce dont attendent des milliers de malades atteints de douleurs insupportables : le cannabis est un anti-inflammatoire puissant ayant une forte action sur les douleurs aiguës.

Mais, de cela, la France et ses merveilleux représentants respectables dans leur légitimité d’êtres divins élus de bonne foi par des électeurs trompés, n’en savent rien ne sachant ni lire, ni voir, ni entendre comme ces trois singes que l’on remise sur une étagère.

La France et ses bons représentants préfèrent plancher sur le retour en sport de la publicité alcoolique en tout genre qui rapporte encore beaucoup en voix électorales et matelas d’atterrissage de placard doré mais bien fortuné.

A la tienne Étienne et rappelle-toi :  en mai fais ce qu’il te plaît !!!

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