Macronite aigue
Être ou ne pas être, n’est pas la question.
Mais être ou ne pas être un bon président, c’est comme tourner en rond, savoir de qui la poule ou l’œuf l’on descend lorsque l’on prétend être le premier.
C’est idiot, car n’importe quel crétin peut l’être.
Pourtant dans un esprit de compétition l’intelligence peut rester rangée au panier de leurs désillusions. Afin d’avance plus vite, il semblerait que les statuts d’en marche auraient piétinés quelques droits.
Ce qui n’a pas plu.
À moins qu’il s’agisse d’une manœuvre pour empêcher d’œuvrer…
Mais il faut dire qu’il fait fort de poignée de mains.
Tellement il a été fatigué de suivre un défilé d’ennuis à ruiner un âne de baudet, qu’il en a oublié, le pauvre, d’être présent pour les journées du sida ; vous savez ces personnes qui tombaient comme des mouches faute d’un traitement en attente de financement.
Mais, il avait plus important à faire que ressortir quelques velléités de réduire pour les plus pauvres injustement leurs prestations sans lesquels ils ne tiennent pas de bout et par voie de fait ne peuvent se mettre en marche.
Ils vont avoir du retard sur les rails de l’indifférence de notre impérieux préférant le bus.
Pour faire des économies, il suffit de taper juste.
C’est-à-dire de se demander pourquoi ceux qui, par exemple, c’est juste un exemple pas une obligation, gagnent 10 000€/mois toucheraient des allocations pour élever des enfants qu’ils peuvent assumer.
Pourquoi est-ce que le rejeton de Pierre, Paul, Jacques et madame si elle est encore présente, aurait-il droit à une alloc alors que ses pères et mères bénéficient de l’isf sur leurs seuls logements durement acquis par les intérêts de leurs placements dont ils ne savent que faire si c’est les louer à plus pauvres qu’eux. Il faut bien que ces derniers justifient leur présence.
Faites gaffe en marche c’est contagieux, pestent certains…