Macronades…

Chaque président en place, et même ailleurs, nous gratifiait de mots qu’il pouvait croire bon étant donné l’engouement des journalistes à nous les rapporter en offrande.

Mais, au fur et à mesure du temps qui passe la parole est d’or à Picsou.

Plus rien, le grand ne s’en souvient plus, le petit demeure la rage au ventre et destine ses belles lancées aux heureux séminaristes recherchant comme le graal la bonne parole.

Même un ancien premier dont on vantait et se gaussait des raffinades lancées au hasard pourvu qu’elles retombent bien sur leurs pattes, parfois cela faisait un peu comme cette foutu tartine s’escrimant à atterrir sur sa surface confiturée ou beurrée.

Mais c’était bien bon, mais c’est bien terminé puisque ce dernier a décidé devant la débâcle de son camp suicidaire ayant tout fait pour perdre une échéance imbattable, de se retirer de devant ces concitoyens, désormais endeuillés de ce bon temps.

Car, il ne semble pas que notre fort en thème soit brillant de ce côté du manche. Point de propos, point de ragot à rapporter à moins qu’un de ces communicants ayant compris le stratagème garde tout pour lui pour un prochain livre à éditer qui aura au minimum le mérite de faire parler de lui et, pourquoi pas, toucher une dîme de son mérite.

Ainsi nous n’aurons pas. Peut-être est-ce pour cela que ce beau comme il faut pour être bon gendre, a-t-il invité un grand d’état compétent en l’espèce qui déjà a commencé par dire qu’il réfléchissait à cette grande fameuse proposition de venir saluer ses soldats ayant refait, mais pour rire, le coup du débarquement libérateur meurtrier.

Il est vrai également, que pour parfaire l’équilibre, il tente de faire paroles à l’Est mais dur le slave cyrillique.

Et, visiblement, je n’entends rien venir d’une assemblée uniforme prête pour un 14 juillet d’un retour en arrière d’anciens combattants que je remercie néanmoins d’avoir été puisque je suis…

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