L’urgence est le présent et pas le passé

Faites attention à l’auto-médicamentation. On ne vous le dira jamais assez, un peu pourquoi pas si ça vous fait du bien.

Mais trop, c’est trop, et ce ne sont pas ces temps de virus en marche qui donneront le change.

Ainsi, une animatrice, malgré le gros cachet pris par elle en seule soirée, a, comme clou de son show, disparu au moment du verdict suprême.

Elle était comique, elle s’est faite magicienne.

A trop en vouloir aux autres, l’on fini comme eux dans la mare au diable.

Aux douze coups de minuit, celle qui pouvait encore espérer rester belle, est-elle devenue crapaud tant la bave suintait de sa bouche cramoisie.

Mais n’allez pas croire que l’attribution d’une statuette à un présumé prédateur, resté cependant innocent tant que la justice n’est pas passé dans les rangs, fasse me réjouir.

Simplement, ce n’est pas au petit peuple de rendre la justice même si parfois l’on se demande bien pourquoi elle tarde tant.

Je me rappelle des moqueries quotidiennement faites à celui qui après avoir dormi auprès d’une belle s’était réveillé sans y toucher.

Celles-ci s’adressaient à lui qui n’a pas profité de l’aubaine.

Jamais  la belle considérée comme automatiquement consentante y compris les membres féminins de sa famille.

Relisez certaines lectures du siècle passé pour constater qu’il était monnaie courante que pour monter il fallait y passer soi-même.

Encore un peu plus loin dans ce temps (dé)passé, le droit de cuissage était de bonne facture ; et malheur à celui qui ne s’y conformait pas y compris par le mépris, la honte et le dégoût de celle qui n’y est pas passée.

Qu’aujourd’hui, l’on considère ces actes d’un autre temps innommables, c’est un bien bon sens notamment pour les victimes non consentantes.

Mais, peut-être faudrait-il être moins ignobles vis à vis de personnes qui n’ont fait que répondre positivement à la demande du temps.

Allez encore un effort pour un bon vivre ensemble.

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