L’on se rappelle d’un temps

Il n’y a pas à dire.

En ces temps de commémorations, il était temps de se mettre en marche.

Les sénateurs, couteau aux dents, ont adopté à la quasi unanimité l’usage du cannabis thérapeutique.

Ils sont, dans leur retard, en avance sur leurs amis députés pourtant réputés pour être bien plus jeunes… Comme quoi qu’il ne suffit pas d’être.

Tout de même savoir que 11 % des français en âge de le faire, les autres ne sont pas recensés, et accepter de les laisser en dehors des frontières d’une légalité douteuse laisse à penser sur le pourquoi du bien fondé des hommes de pouvoir.

Mais, peut-être faut-il que leur nombre soit égal aux accros de l’alcool pour être considéré comme force vive de la nation ? Cependant, durant l’exercice du test sur 18 à 24 mois, et certainement après, les médecins ne pourront ordonnancer que s’ils ont méticuleusement, au préalable, gaver leurs patients de médicaments douteux sachant, par expérience, qu’ils ne feront rien à l’affaire.

C’est vrai que des emplois sont en jeu et que le lobbies médicamenteux ne s’est point préparé à une concurrence de rue acharnée.

Qu’il se dépêche à former ses salariés à ce nouveau marché extensible.

Y aura-t-il livraison à domicile gratuite ? Pôle emploi s’inquiète de savoir qu’il va bientôt disparaître du fait des création innombrables de postes de travail qui vont s’offrir à sa clientèle habituelle.

Ce qui justifiera, sans doute, de mettre un « S » à emploi.

Cela est bien connu, les loups dévorent les plus faibles qu’eux.

Demandez aux bergers de nos montagnes qui le savent bien depuis la (re)introduction écologique de l’espèce dans leur environnement de brebis.

Mais pas que, l’un qui se croyait si puissant qu’il avait si bien bouclé son cercle de pouvoir qu’il se pensait imprenable à la barbe de la meute extérieure.

Mais c’était sans compter un événementiel de vote démocratique qui a rendu sa position intenable.

Au secours la droite risque de revenir.

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