Un qui était invité pour raconter ce qui se passe chez les chefs de bande à trafic, s’est exprimé à propos de ce meurtre d’un policier qui voulait réaliser un contrôle de routine pour une vente d’herbe à une dame d’un certain âge.
Il ne pouvait que constater que cette dernière n’était pas une jeune adolescente.
Qu’elle avait sans aucun doute besoin de cette herbe comme d’autres engouffrent des médicaments sans être hors la loi.
Peut-être serait-il plus sérieux et responsable de faire en sorte qu’elle puisse sur ordonnance de son médecin acheter selon ses besoins sans la crainte de la peur de la rue.
Mais, bien entendu, cette solution, qui réduirait ce type de trafic, est bien trop simple, pragmatique pour être acceptée par ces crânes d’œufs qui nous gouvernent.
D’ailleurs, cette dame n’a qu’à faire comme d’autres.
Une ancienne porte parole gouvernementale qui avait activement participé aux ordonnances sur l’Emploi se retrouve bien placée dans une société intérimaire.
Et, par pur hasard, à l’insu du plein de tout le monde, elle y est chargée entre autres des solutions d’emplois.
C’est vrai qu’elle aurait pu trouver nettement mieux.
Le tueur en série est mort de troubles neurologiques.
Les familles n’auront pas le droit à la justice pour partir en deuil plus dignement.
Les médecins l’avaient placé en coma artificiel.
Pourtant ils n’avaient guère pitié de lui.
Et c’est reparti, n’ayant rien d’autres à déclarer l’extrême continue en toute innocence à taper sur ce qui fait peur aux français.
Ce serait l’insécurité prégnante dans les esprits mais pas vraiment dans la réalité nationale.
Même s’il est inadmissible que des forces de l’ordre se fassent tués durant leur activité professionnelle, pourquoi ne pas faire également une marche blanche pour les milliers de salariés victimes d’accidents de travail allant jusqu’à la mort dans des chiffres autrement plus conséquents ?
