L’exportation se porte bien

Le clown triste d’Outre Atlantique a trouvé encore plus pénible que lui. En réponse à l’augmentation des taxes des produits chinois, le pays du soleil couchant décidé de baisser la valeur de sa monnaie.

Premier intérêt, la compensation desdites taxes par la faible monnaie actuelle du Yan.

Deuxième intérêt qui touche tout le monde y compris l’Europe : l’augmentation prévisible des importations chinoises et la contre-partie de la baisse des exportations vers ce pays du fait de ladite faiblesse.

Il n’est pas déjà un bon président, mais il ne pourra pas se reconvertir dans le commerce international.

Il s’en fout, il est riche à en crever.

Il a suffisamment de pognon de côté et ses affaires marchent tant qu’il ne veut pas dévoiler le montant de ses impôts.

En France, un élu maire est tué d’avoir trop travailler.

C’est un chef maçon et son apprenti qui l’on heurté en allant déposer leurs gravats dans une décharge interdite.

Encore une fois, le bon a eu tort, le méchant a gagné.

Vive la morale des affaires.

Les journalistes et économistes se réveille de constater qu’il y a de moins de mins de véhicules en France.

Pourtant nos géants constructeurs nationaux avaient signé un accord pour que restent en France ces fleuron de constructions.

Oui, mais voilà, la date est périmée, les subsides dépensés.

Aucune raison pour ces entreprises vertueuses de rester dans un pays qui ne paye pas sa dîme comme les autres.

Ces constructeurs n’iront pas en Italie car il y a plus mafieux qu’eux.

Ils ont même réussi a faire disparaître complètement leur pont afin d’obtenir de nouveaux crédits à détourner.

Ainsi va la vie, certains la vivent pleinement, d’autres chichement, ou en profitent largement.

Et pas question de laisser ruisseler quoi que ce soit s’il n’y a pas retour immédiat de rendement sur investissement.

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