L’espoir (re)naît

Nous avions déjà constaté qu’il était nul besoin que les gens de gauche arrivent au pouvoir : d’autres s’en occupent.

En effet, le sous-marin caméléon illuminé a fait table rase de ses principes libéraux économiques.

Il n’est plus le chantre des banquiers pour qui seuls comptent les affaires rondement menées.

L’illuminé s’est fait avoir par celui qui aurait pu être son père.

Du moins l’est-il en matière économique.

En partant de la pandémie ne qualité d’excuse pour ses pères, jamais gouvernement social n’a fait mieux en la matière.

Keynes n’a pas ressuscité d’entre les économistes.

Mais il a trouvé son maître.

Qui aurait pensé un jour que la règle d’or intangible, ligne rouge des adeptes du masochisme serait à ce point transformé en phantasme pour écolier en phase d’apprentissage de comptabilité ?

Qui aurait imaginé que le tout en même temps aurait autorisé à sauver le patronat et les salariés d’une misère financière ?

Grâce à son confinement imposé, les relations au travail ont changé puisque les cadres ne peuvent plus exercer leur métier de cerbère avec des troupes dispersées au quatre vents.

Digne de certains états totalitaires démocraties de façade, le conseil de sécurité a fait office des 3 chambres représentatives et consultatives afin de mieux restreindre les droits de chacun.

Que cela était la seule voie nécessaire est une énorme blague comme la pensée unique.

Mais l’homme continue sous influence.

Dans un premier temps il avait interdit aux banques de prêter sur une durée supérieure à 25 ans.

Il en est revenu pour faire passer la facture énergétique aux petites gens gagnant peu de leur triste labeur.

Jusqu’à présent, il n’y avait que les riches, très riches qui pouvaient souscrire in fine.

Ce sont les assureurs vie qui l’ont mauvaise.

Mais, les routards ne se laissent pas prendre au piège.

Ils voient jaune l’autoroute gouvernementale.

Ils ont compris que l’impossible était à portée de roues.

Pour eux la vie reprend tout son sens.

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