Les têtes pensantes sont à couper

Au jour, ho combien lumineux, l’on accord une certaine personnalité aux animaux qui sont nos amis, il est vraiment heureux d’entendre que par temps de Covid l’on n’aurait pas dû bloquer l’économie pour tenter sauver les vieux qui de toutes façons auraient vécu leur propre mort un jour ou l’autre.

Mais, rassurez-vous, cela a été dit hautes voix de droite en Suisse.

Chez nous on est resté neutre.

Le nouveau confinement n’a pas encore remplacé l’ancien que les confinés se sont crus de sortie.

20 personnes pressées en enterrement de première classe ont autorisées 200 autres bonnes âmes a fêter l’événement qui se doit en pays de foie gras.

Bilan des courses à l’échalote, un cluster en pays vert ; certains commencent à voir rouge.

Tout le monde se plaint des consignes jacobines infantilisant chacun.

Mais les maîtres d’école, du moins leurs représentants syndicaux en veulent plus style de savoir s’ils peuvent ou non consoler charnellement  un gosse qui pleure où le laisser dans son chagrin pour qu’il apprenne à vivre ce qui pourrait lui faire du bien.

Un pub infantile de dire de dire notamment « Pourquoi il travaille ? » le capitaliste libéral avancé de répondre « il faut que tout le monde participe à la relance » de nos fortunes.

Est-ce bien compris pour attendre un éventuel ruissellement ? Pour aller à l’île de Beauté, cela pourrait se corser en été à venir.

En effet le politique régional qui n’a pas oublié de se faire voir pour se faire entendre prétendrait vouloir faire comme l’autre îlien de l’autre côté de la manche : interdire l’accès de ce qu’ils croient être leur territoire à toute personne non munie d’une attestation de non virus portable.

Ah, l’institut machin chose ayant pris le nom d’un qui était aussi écrivain, et ayant eu à sa tête celui qui, par la ruse et négociation, a créé l’un des plus grands empire d’assurance (cocorico!), n’a pas trouvé mieux que de sortir de son tiroir les vieilles recettes de rengaine : il faut travailler plus.

Si désormais vous en avez le temps, nous aurons l’occasion d’en (re)parler…

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