Les principes restent, c’est le principe

Bon encore une fois, le principe de licencier pour sauvegarder l’emploi refait surface comme l’exilé de Lisbonne revenant de déroute.

Mais ce qui serait bon pour Flins, le serait-il pour l’autre ? Demander à un délégué syndical d’Airbus s’il ne craint pas d’une rafale de licenciements, c’est un peu explosif de la part de ce journaliste à bons jeux de mots.

C’est acquis, les forces diverses de la politique française ont déclenché la fin des élections municipales sous réserve que les conditions machin chose soient suffisamment nickels.

Pourtant, si l’on se souvient bien, nombre de ministres sont poursuivis en justice pour mise en danger de la population lors du maintien du premier tour.

L’homme n’aurait-il pas peur d’un recommencement qui pourrait lui jouer un mauvais tour d’autant plus que l’urgence sanitaire dure jusqu’en juillet ?

Et que dire de la fiabilité de ce second tour qui ne permettre pas de campagne à la ville ? Les gens électeurs pourront-ils tous bien se déterminer en conséquence sur un vrai programme du futur et non la récompense en prime de maire sortant d’avoir donné des masques gratuitement sur le compte des impôts locaux ?

La prétention de prendre de haut ce qu’il considère plus bas devient pour certain une urgence absolue de leur bêtise non confinée.

L’un de ceux-la pour expliquer le manque d’imagination des ses pairs non compères, est d’en dire que la cause est que ces derniers voulaient profiter du télétravail pour prendre loisir de lire du Proust alors que dans les faits c’est plutôt une série de bas étage qu’ils se sont imprégnés dans le fin fond de leur canapé d’avant apéro.

Car voyez-vous monsieur, dans cette France il ne peut y avoir qu’une seule culture qui puisse générée de savants prétentieux après d’être sortie dans la botte ou major d’entre-eux.

Et que dire de cette dame qui se veut patronnesse en sa rédaction que de dire ces malades regrettent de ne pouvoir reprendre une vie normale, c’est-à-dire retravailler.

Ce qui voudrait dire que l’ensemble des retraités ne sont pas dans une situation normale…

Quitter la version mobile