Les non-boomers … laissez-nous rêver et rêvez avec nous !

Je fais partie de cette génération née après-guerre, pendant les trente glorieuses, je suis un baby-boomer.

Aujourd’hui, nombre de jeunes de la génération « Z » nous tournent en dérision, avec des vêtements marqués « ok boomer » que je traduirais par « cause toujours le vieux ».

Nous les baby-boomers nous avons connu une époque, en étant enfant, adolescent où tout aller mieux d’année en année, c’était les trente glorieuses. Où l’innovation aller à grand pas, c’est certains il n’y avait pas d’ordinateur, ni d’internet, ni même de minitel, on s’émerveillait devant un magnétophone à cassette, des feutres, un nouveau jeu de société, des billes de verre, une émission pour enfant sur l’unique chaîne de télévision (en noir et blanc).

Tous ces progrès, cette société qui allait de mieux en mieux, nous permettent de voir le côté positif de la vie, le verre n’est jamais à moitié vie, il est toujours à moitié plein.

Même une mauvaise nouvelle aboutira, in fine, à quelque chose de positif. Simplement, il faut le vouloir, au lieu d’être abasourdi par une mauvaise nouvelle, il faut rebondir, regarder autour de soi ce qui va permettre de transformer cette mauvaise nouvelle, d’en faire une force.

Tous les baby-boomers ne sont pas dans la résilience et le positivisme permanent, quoi que j’ai rarement croisé des baby-boomers pessimistes, avec une possible baisse de morale le temps de rebondir.

On nous reproche parfois de voir la vie en rose, de considérer que quel que soit le problème, tout va s’arranger. Ne jamais se dire « tout va mal alors tout va aller de plus en plus mal » mais de se dire « tout va mal, en ce moment, c’est passager, tout ira beaucoup mieux, bientôt ».

En pensant positif, on attire le positif, on ne passe pas à côté sans le voir.

Aujourd’hui, ma génération vieillie, nombre ont déjà quitté ce que l’on nomme « la vie active ».

Nous sommes des « baby » plus très jeune mais nous ne sommes pas et nous ne serons jamais des « papy-boomers ».

Accordons aux générations « X », « Y » et « Z » ne nous appeler des « boomers ».

Si le boomer que je suis, a un conseil à donner aux plus jeunes générations : regarder toujours la vie du bon côté, même si tout semble se fermer à un moment donné devant vous. Ce n’est que provisoire, observer et trouver la ou les solutions qui vous donneront de nouvelles ouvertures. Ne baisser jamais les bras, ne laisser jamais tomber, ne perdez pas votre temps à vous lamenter sur votre sort … la vie est trop courte pour cela.

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