Les deux M
Je connaissais 3M pour sa tour éponyme polluant notre environnement paysager mais au moins donnant du travail à quelques centaines de salariés.
Mais à voir cette attitude collante de l’une à ironiser, tenter d’intimider le premier de classe sans jamais apporter une quelconque preuve m’a donné l’impression d’une séquence faisant tintin d’un personnage fleurant bon le poisson.
Il y avait, dans ce débat, le premier qui n’a jamais eu besoin de se réchauffer au fin fond de la classe et qui a malgré sa bonne volonté perdu le sens des réalités si toutefois il les avait déjà un jour trouvé, mais j’en doute.
Et, de l’autre côté d’un bar mal famé, dame maquerelle tenant à cœur son rôle de mégère non apprivoisée se foutant comme de l’an 40 d’un quelconque consensus, l’essentiel étant la recherche de mots pour découvrir les maux de l’homme, que t’a pas vu qui n’a pas vu l’ours, afin de mieux tenter de l’abattre.
Certes, je dois l’avouer, plus tenté par un film moins violent malgré les tueries aux quatre coins d’une d’un quartier d’une ville mal famé, je n’ai pas tout regardé dans son entier.
Mais, à chaque fois que j’y suis revenu, merci les coupures de pub aussi fournies que celles de presse ne voulant rien dire, j’ai retrouvé les mêmes attitudes, les mêmes attaques virulentes d’une vipère qui n’a pu prendre place de devant le radiateur, mais a tenté celle externe pour se recroqueviller sur elle-même et pour casser sa profonde solitude, elle a tout de même perdu son père et sa nièce qu’elle a élevé dans son giron, jeunesse faisant, qui lui fait la nique à chaque fois que cela lui est possible ; sans doute conflit générationnel qui se perpétue ajouté à n complexe familial.
Enfin à mon avis, c’est le banquier, qui ne prétend ne pas l’être, qui a sans aucun doute rafler la mise sans avoir besoin de renverser une table malmenée par l’énergumène.
PS Le match 0-2