Les bons comptes font les gouvernements

Bon faisons les comptes.

L’Isf disparu pour favoriser l’Ifi, permet de faire gagner quelques 500 000€ à de vrais riches qui s’ils sont supers riches gagneront encore plus chaque année.

Pendant, ce temps là, ceux qui ont acquis une résidence principale d’un lieu ayant pris une côte incontrôlable en seront de leurs poches pour continuer à payer un impôt dont on se demande bien s’il est vraiment sain.

Puis, des cadeaux en pagaille aux patrons d’entreprise s’additionnant déjà à des cadeaux reçus des gouvernements précédents.

Il en est ainsi des exonérations des cotisations sociales qui permet de ne pratiquement plus rien payer en charges, donner un ruissellement de plus à son salarié et grévant dangereusement les finances des organismes sociaux qui vont devoir trouver comment réduire leurs services pour survivre.

Les logements neufs ne seront plus en majorité accessibles aux handicapés qui devront encore plus rechercher comment se loger à moindre frais.

Et pour que la fête soit encore plus belle, la réflexion actuelle gouvernementale est de faire semblant de savoir comment faire pour rogner encore plus sur les aides sociales tout comme il y avait nécessité d’urgence de le faire avec le statut de cheminot.

Pour les personnes concernées peut-être qu’un jour ha ça ira, ça ira, pour les président des riches et ses amis ça va déjà MERCI.

En scoop, voici le menu qui n’est pas à la carte mais seulement au choix gouvernemental qui se fiche comme d’une guigne des dégâts que cela fera.

Comme pour les Apl – déjà rognées gentiment comme amuses-gueules de 5€/mois – il semble bien que l’ensemble des prestations sociales seront calculées, non plus sur les revenus de l’année N-1 mais sur ceux de l’année N.

Pourquoi pas puisque si vous percevez suffisamment de revenus maintenant pourquoi percevoir des prestations pour moyens plus bas.

Mais doit-on comprendre que la remise en question sera mensuelle ?

Et comment, dès lors, les ménages concernés vont-ils pouvoir prendre les dispositions qui s’imposent puisqu’il n’y a pas de vraie dégressivité mais plutôt de pallier à ne pas franchir d’un Euro au risque de tout perdre et, in fine enregistrer une belle perte de pouvoir d’achat.

Quoiqu’il en soit, c’est une bonne nouvelle pour ceux qui restent puisque juré, promis, craché, il n’est pas question de rogner quoique ce soit.

Ainsi donc les économies enregistrées seront réparties sur ceux qui ne sont pas partis.

Chouette, j’ai tout compris.

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