Le voir pour le croire

Ne me faites pas dire ce que je n’ai jamais dit, ni pensé d’ailleurs.

Oui, l’islamisme doit être combattu.

Oui, les atteintes aux libertés des hommes et des femmes doivent être combattues.

Mais ce n’est pas au nom de ce grand principe que l’on doit interdire une religion, ou le port d’un habit quelconque dans l’espace public.

Bien sûr, à toute chose, les limites sont bonnes.

C’est ainsi que les prêches appelant à la violence, voire au prosélytisme forcé, ou au port d’un habit qui ne permettrait plus de reconnaître le moine en-dessous, doivent, par contre eux être interdits.

Et cela ne passera que par l’acceptation des pratiques religieuses dans les sphères privées lorsque l’on vit dans une république laïque.

Maintenant, il serait ridicule de refuser une procession religieuse quel qu’elle soit sous motif qu’elle passe dans nos rues ou chemins.

Par contre, il est bien évident que la violence apportée à l’autre, verbale ou physique, doit être fortement condamnée et l’auteur vivement encadré.

Ce n’est pas parce que les femmes sont le plus souvent les plus violentées, dans tous les sens du terme, qu’il faut en profiter pour oublier les violences faites aux hommes.

Une femme peut très bien elle aussi être violente, physiquement bien sûr, mais aussi par ses paroles assassines.

Une femme peut aussi bien être coupable d’un viol pédophile incestueux commis sur une jeune et aussi jeune mineur.

Dans ces cas, ce n’est ni la quantité, ni la qualité qui compte, seul le soupçon de l’acte doit faire intervenir l’extérieur pour comprendre ce qu’il en est à l’intérieur, dans l’intimité de tout ménage.

Je n’y était pas sur place.

Je n’en dirais rien.

J’ai vu à la télé, je dirais donc.

Pas de panique chez les espagnols rentrés au stade.

Qu’un marée rouge d’Outre Manche dont beaucoup semble-t-il possédaient de faux billets ou n’en avaient pas.

Des forces de l’ordre qui ont confondu le rouge pour le jaune.

Des stadiers débordés.

Et vous ça va ?

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