Achetez, mais achetez malin et vous ferez plaisir à votre palais tout en faisant bonne affaire financière si vous vous y prenez bien.
Aussi ne vous précipitez pas sur le lot de 6 bouteilles, six gratuites car pour le prix de 6 à la douzaine, vous risquez fort d’en avoir votre poubelle.
Également, si l’étiquette j’ai l’or, l’argent ou le bronze de tel ou tel concours, veillez à ce qu’elle soit bien primé pour votre liquide car une médaille aux jeux olympiques ne dira pas qu’il y a connivence avec qualité.
Or si vous devez boire avec modération autant que celle-ci soit bien accompagnée avec qualité.
Dites-vous bien que s’il y a Bourgogne sur étagère, cela pose problème de savoir quel petit éleveur-viticulteur peut suffire à la demande en comparaison des gros d’ailleurs.
Mais un bordeaux à 5€ n’est vraiment pas synonyme de soif méritée.
Si le contenant seul tient pour ramage, écartez-vous au profit de plus ignare que vous.
Ce qui compte, c’est ce qui est dedans et pas autour fichez-vous de l’affiche sauf pour en vérifier la provenance : un détaillant n’est pas producteur et mis en château vaut certainement mieux que coopérative dans les graveleux.
Certains s grands crus valent vraiment le détour.
Mais comme il sont d’arrière garde intéressez-vous aux capacité de garde de gérant de magasin.
Car bon cru ou non, il l’est nettement moins bien si sa conservation ressemblait à une botte d’oignons.
Les coups de cœur sont assurément la bonne affaire pour qui veut écouler plus rapidement son vin.
Après c’est affaire de goût.
Si malgré cela, il est conservé quelques flacons, alors précipitez-vous pour l’acquisition car il y a bien plus malin que vous qui veille.
Allez bonne dégustation en vertical si c’est possible !!
