Le réemploi c’est capital

A la municipale capitale, mars ça repart à la grande kermesse électorale où un loto nous fera l’honneur afin de savoir qui sera en possession de la possibilité de mettre en place son idée fantasque : 180 000 nouveaux arbres plantés (à l’instar de la ville qui rugit où désormais l’encombrement des voies est telle que chacun est prié de rester chez soi), la suppression pure et simple du périphérique permettant à quelques 1 millions 500 000 véhicules d’aller se faire voir ailleurs, suppression parisienne de gares, et d’autres tours de passe passe à qui volera le plus haut des besoins de ses concitoyens.

Mais cette folie de ceux qui se croient plus haut que le nid de coucous qu’ils ont pillé sans retenue, n’est pas l’exclusivité seule des politiques de tout bord tellement confondu qu’on ne les reconnaît plus.

Cela n’excuse pas le langage suranné de chroniqueur.

Lisez plutôt une des fins de sa diatribe hebdomadaire : « Il faut espérer que la baisse du chômage, libérant de la crainte du sous-emploi…».

A vrai dire il avait rajouter en abcès de parenthèses « en partie », ce qui lui permettra à tout moment de se racheter en disant qu’il l’avait dit.

Mais, monsieur, ces parenthèses vous pouvez les conserver pour une autre de vos plaisanteries de salon dînatoire.

Observez bien cette baisse en trompe l’œil qui de plus fait loucher.

En effet, comme une célèbre pub qui veut nous faire croire que pour le même prix l’on puisse avoir deux en un (pour les soldes ce sera 3 ou plus si affinités).

Quels sont les emplois créés ? Certes nous ne pouvons que nous réjouir de la montée en puissance des Cdi.

Dans notre vie passée, cela voulait dire stabilité sociale, l’on rentrait dans les rangs des bonnes gens.

Aujourd’hui, seuls les banquiers font semblant de nous claquer la bise en faisant penser qu’ils croyaient encore aux vertus de ce statut affolant leurs algorithmes de leur balance créditeurs/débiteurs… Suite ailleurs …

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